lundi 17 janvier 2011

Avis de recherche … TROUILLOT … Cela vous dit-il quelque chose ?


Pierre Monier a été amené à se pencher sur la vie et l'œuvre de son bisaïeul Charles-Adzir TROUILLOT, artiste-sculpteur lorrain né en 1859 à Burey-en-Vaux (55), dont certaines œuvres sont conservées dans différents musées (Châlons-en-Champagne, Orsay, Versailles...). Le chemin de vie de son ancêtre sculpteur, qu'il a pu suivre à la trace de Burey-en-Vaux à Dijon (vers 1895), en passant par Châlons-en-Champagne, se perd à Lunéville, où il a été employé comme modeleur aux célèbres faïenceries vers la fin du XIXème siècle. En 1910, à l'époque de son second mariage, avec Louise Dauvisis, il logeait au n° 27 de la rue de Viller à Lunéville. Après 1911, à la suite du décès subit de sa seconde épouse la trace de Charles-Adzir Trouillot est perdue ... Les Conservateurs des Musées concernés, tout comme Pierre Monnier, ont vainement tenté, par le passé, de boucler sa fiche biographique. Lors d'une visite à une vieille parente, celle-ci lui a exhumé une "boite à souvenirs" et, au fond de cette boite, il a découvert cette vieille photographie qui, bien qu'abîmée laisse apparaître en lettres capitales l'enseigne : "Charles Trouillot" Pour Pierre Monier, ne connaissant pas dans son arbre généalogique, d'autres Charles que son grand-père (et ce n'est pas lui) et Charles-Adzir (appelé Charles sur certains documents), il se prend à espérer que ce pourrait être le portrait de ce dernier, précieusement conservé par son grand-père et l'état d'usure de cette photo l'incite à penser qu'il avait peut-être pu la garder dans son portefeuille ... Si cette hypothèse s'avérait exacte, Charles-Adzir aurait pu avoir délaissé la sculpture et la faïencerie pour se lancer dans l'hôtellerie-restauration peut-être après avoir hérité de sa seconde épouse, mais le contrat de mariage établi chez Maître George, notaire à Lunéville, le 24 février 1910, est inaccessible pour l'instant, aux A.D. locales.
Si, parmi les visiteurs (euses) de ce blog, certain(e)s avaient une idée de l'endroit et de la période à laquelle a été prise cette photo, toute suggestion ou révélation serait la bienvenue.

Pierre Monier s'interroge encore pour savoir s'il n'existerait pas un annuaire professionnel lorrain pour cette époque - après 1910 - où l'on pourrait avoir une chance de retrouver cette "Pension bourgeoise-restaurant-billard"...
Mais peut-être aussi l'artiste est-il retourné, au moment de la tourmente de 14-18, finir ses jours à proximité de ses enfants, dont beaucoup étaient restés à Dijon après son divorce... Peut-être tenons-nous là une des clefs du mystère Charles-Adzir et ce serait formidable de pouvoir enfin éclaircir les circonstances de la fin de vie de cet artiste autodidacte ...
Merci d'avance à qui pourra nous renseigner !
(Cliquer sur la photo pour voir les détails)
On peut contacter Pierre Monier directement : pm.monier@wanadoo.fr
Ascendance de Charles Adzir Trouillot, cliquer sur > VOIR
Descendance Trouillot telle que reconstituée dernièrement, cliquer sur > VOIR
Lire l'article de Pierre Monier
« A la recherche de Charles Adzir », cliquer sur > LIRE

lundi 10 janvier 2011

Le site sur Saudrupt reconnu par M.J.L.Beaucarnot ...

Article paru le 9 janvier 2011
dans le Magazine
7HEBDO
du journal
LE REPUBLICAIN LORRAIN
(cliquer sur l'image pour lire le texte)