Pierre Monier a été amené à se pencher sur la vie et l'œuvre de son bisaïeul Charles-Adzir TROUILLOT, artiste-sculpteur lorrain né en 1859 à Burey-en-Vaux (55), dont certaines œuvres sont conservées dans différents musées (Châlons-en-Champagne, Orsay, Versailles...). Le chemin de vie de son ancêtre sculpteur, qu'il a pu suivre à la trace de Burey-en-Vaux à Dijon (vers 1895), en passant par Châlons-en-Champagne, se perd à Lunéville, où il a été employé comme modeleur aux célèbres faïenceries vers la fin du XIXème siècle. En 1910, à l'époque de son second mariage, avec Louise Dauvisis, il logeait au n° 27 de la rue de Viller à Lunéville. Après 1911, à la suite du décès subit de sa seconde épouse la trace de Charles-Adzir Trouillot est perdue ... Les Conservateurs des Musées concernés, tout comme Pierre Monnier, ont vainement tenté, par le passé, de boucler sa fiche biographique. Lors d'une visite à une vieille parente, celle-ci lui a exhumé une "boite à souvenirs" et, au fond de cette boite, il a découvert cette vieille photographie qui, bien qu'abîmée laisse apparaître en lettres capitales l'enseigne : "Charles Trouillot" Pour Pierre Monier, ne connaissant pas dans son arbre généalogique, d'autres Charles que son grand-père (et ce n'est pas lui) et Charles-Adzir (appelé Charles sur certains documents), il se prend à espérer que ce pourrait être le portrait de ce dernier, précieusement conservé par son grand-père et l'état d'usure de cette photo l'incite à penser qu'il avait peut-être pu la garder dans son portefeuille ... Si cette hypothèse s'avérait exacte, Charles-Adzir aurait pu avoir délaissé la sculpture et la faïencerie pour se lancer dans l'hôtellerie-restauration peut-être après avoir hérité de sa seconde épouse, mais le contrat de mariage établi chez Maître George, notaire à Lunéville, le 24 février 1910, est inaccessible pour l'instant, aux A.D. locales.
Si, parmi les visiteurs (euses) de ce blog, certain(e)s avaient une idée de l'endroit et de la période à laquelle a été prise cette photo, toute suggestion ou révélation serait la bienvenue.
Pierre Monier s'interroge encore pour savoir s'il n'existerait pas un annuaire professionnel lorrain pour cette époque - après 1910 - où l'on pourrait avoir une chance de retrouver cette "Pension bourgeoise-restaurant-billard"... Mais peut-être aussi l'artiste est-il retourné, au moment de la tourmente de 14-18, finir ses jours à proximité de ses enfants, dont beaucoup étaient restés à Dijon après son divorce... Peut-être tenons-nous là une des clefs du mystère Charles-Adzir et ce serait formidable de pouvoir enfin éclaircir les circonstances de la fin de vie de cet artiste autodidacte ...
Si, parmi les visiteurs (euses) de ce blog, certain(e)s avaient une idée de l'endroit et de la période à laquelle a été prise cette photo, toute suggestion ou révélation serait la bienvenue.
Pierre Monier s'interroge encore pour savoir s'il n'existerait pas un annuaire professionnel lorrain pour cette époque - après 1910 - où l'on pourrait avoir une chance de retrouver cette "Pension bourgeoise-restaurant-billard"... Mais peut-être aussi l'artiste est-il retourné, au moment de la tourmente de 14-18, finir ses jours à proximité de ses enfants, dont beaucoup étaient restés à Dijon après son divorce... Peut-être tenons-nous là une des clefs du mystère Charles-Adzir et ce serait formidable de pouvoir enfin éclaircir les circonstances de la fin de vie de cet artiste autodidacte ...
Merci d'avance à qui pourra nous renseigner !
(Cliquer sur la photo pour voir les détails)
On peut contacter Pierre Monier directement : pm.monier@wanadoo.fr
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